Et voici encore en vrac ces petites différences qui nous rappellent qu'on est en Amérique latine... :
- C'est frustrant, et condescendant de notre part, mais nous constatons qu'il est difficile de recevoir des informations exactes et fiables. Qu'il s'agisse d'un bus qui ne va pas à la destination annoncée, d'une taxe payée pour surveiller nos bagages laissés à l'abandon, d'un hôtel "avec eau chaude" sans eau chaude ou encore des additions incorrectement additionnées, souvent, nous nous surprenons à devenir plus méfiants que nous ne voudrions l'être. Heureusement que la gentillesse de la majorité compense ce sentiment!
- En Equateur, l'essence est super bon marché. Au moins 4 fois moins chère qu'en Bolivie. Du coup, il y a un trafic assez amusant à imaginer, car les trafiquants utilisent de grosses voitures américaines pour planquer des réservoirs. A chaque fois qu'on voit une voiture surdimensionnée, on ne peut s'empêcher de sourire!
- En Equateur et au Costa Rica, il n'y a pas d'adresses ni de poste comme nous les connaissons! Quand on veut aller quelque part, on doit dire où ça se trouve par rapport à une référence connue, par exemple "à 200m à l'est et 50m au nord de la banque untel, dans tel quartier"... Et comme il n'y a pas de numéros sur les logements, il faut parfois se taper toute une rue pour trouver ce qu'on cherche. Sans commentaire! (et si vous vous demandez comment arrivent les factures, c'est simple, y'a un agent qui passe tous les mois les déposer!)
- En Equateur, la première chose qu'on vous dit sur un marché, c'est "a la orden". Ca veut dire, en gros, "à vos ordres, pour vous servir".
- Les chauffeurs de bus équatoriens roulent comme des malades. Il faut le savoir. Amateurs de sensations fortes, on vous recommande particulièrement les bus entre Guayaquil et Puerto Lopez
- C'est en Equateur que l'on a trouvé le meilleur pain des pays visités en amérique latine
- Au Costa Rica, si vous parlez l'espagnol, c'est plus intéressant de faire les visites guidées dans cette langue : il y a bcp moins de monde que dans les visites en anglais. Dans les autres pays latinos qu'on a visités : c'est l'inverse
- Partout où nous sommes allés, les taxis sont très bon marché. On a encore beaucoup de progrès à faire en Belgique! Faut dire que la concurrence est rude : dans certaines villes, plus de la moitié des véhicules sont des taxis.
Diarios de mochilas belgas
voici le journal de bord de notre voyage en Amérique latine... pour vous faire rêver et voyager avec nous!
mardi 3 avril 2012
lundi 2 avril 2012
San Jose, le dernier jour
le 26 mars 2012
Et nous voici à la fin de notre périple. Les sentiments sont partagés. Nous nous réjouissons de rentrer et de retrouver famille et amis, le confort d'être chez soi, et le chocolat, le bon fromage et le bon pain, etc. Mais petit pincement au cœur en pensant que l'on arrive à la fin de cette belle aventure.
Nous terminons notre séjour au Costa Rica en sympathique compagnie, déjà avec des belges... à la table du consul de Belgique (ami d'une amie de la maman de François) avant de rejoindre l'aéroport. Prochaine et dernière destination, notre petite Belgique...
Et nous voici à la fin de notre périple. Les sentiments sont partagés. Nous nous réjouissons de rentrer et de retrouver famille et amis, le confort d'être chez soi, et le chocolat, le bon fromage et le bon pain, etc. Mais petit pincement au cœur en pensant que l'on arrive à la fin de cette belle aventure.
Nous terminons notre séjour au Costa Rica en sympathique compagnie, déjà avec des belges... à la table du consul de Belgique (ami d'une amie de la maman de François) avant de rejoindre l'aéroport. Prochaine et dernière destination, notre petite Belgique...
vendredi 30 mars 2012
Manuel Antonio
24 et 25 mars 2012
Situé sur la côte pacifique, le parc Manuel Antonio est le plus petit parc national du Costa Rica et aussi l'un des plus visité.
Toujours la forêt tropicale, nous observons des singes écureuils ainsi que des capucins, un paresseux perché au sommet d'un arbre, d'énormes papillons bleus et on profite une dernière fois des paysages idylliques.
nos derniers avocats.
Situé sur la côte pacifique, le parc Manuel Antonio est le plus petit parc national du Costa Rica et aussi l'un des plus visité.
Toujours la forêt tropicale, nous observons des singes écureuils ainsi que des capucins, un paresseux perché au sommet d'un arbre, d'énormes papillons bleus et on profite une dernière fois des paysages idylliques.
nos derniers avocats.
Libellés :
Costa Rica
Pays/territoire :
Manuel Antonio, Costa Rica
mercredi 21 mars 2012
Côte Pacifique, Hacienda Baru
20 au 24 mars 2012
L'hacienda Baru est une réserve naturelle privée de 330 Ha, dont 3 km de plage le long du Pacifique. Des lodges confortables, des chemins dans la forêt tropicale pour observer les oiseaux, dont de superbes toucans, les singes, les paresseux, les papillons. Nous nous sommes installés ici pendant 5 jours pour profiter à fond de cet endroit magnifique.
Vu la chaleur accablante dès que le soleil est là, il faut se lever tôt pour aller marcher. Ensuite, petit tour dans la piscine, tellement chaude qu'elle ne rafraichit même plus ! trop dure la vie!
Les iguanes se prélassent au soleil autour des cabanas.
Dans la réserve de l'hacienda Baru
Et puis coucher de soleil sur l'océan.
L'hacienda Baru est une réserve naturelle privée de 330 Ha, dont 3 km de plage le long du Pacifique. Des lodges confortables, des chemins dans la forêt tropicale pour observer les oiseaux, dont de superbes toucans, les singes, les paresseux, les papillons. Nous nous sommes installés ici pendant 5 jours pour profiter à fond de cet endroit magnifique.
Vu la chaleur accablante dès que le soleil est là, il faut se lever tôt pour aller marcher. Ensuite, petit tour dans la piscine, tellement chaude qu'elle ne rafraichit même plus ! trop dure la vie!
Les iguanes se prélassent au soleil autour des cabanas.
Dans la réserve de l'hacienda Baru
Et puis coucher de soleil sur l'océan.
Libellés :
Costa Rica
Pays/territoire :
Dominical, Costa Rica
Peninsule Osa, Las Caletas
16 au 19 mars 2012
Traversée laborieuse du pays en bus de la côte Caraïbe à la cote pacifique pour rejoindre la péninsule Osa où se trouve le parc national Corcovado qui abrite une superbe forêt tropicale et des plages de rêve. Nous faisons une escale à San Isidro pour passer la nuit. Changement de climat en quelques dizaines de kilomètres à peine, on passe d'une région montagneuse et sèche à une région très humide sur la côte.
Nous passons 2 nuits dans un lodge à la playa Las Caletas. Le lieu est uniquement accessible par bateau. La vue sur l'océan est époustouflante. Ballade dans la forêt, de plages en plages.
Péninsule Osa
Péninsule Osa
La vue depuis notre chambre...
Je pestais que quelqu'un ait balancé ses sparadraps sur la plage... mais non, ce sont des feuilles!
Une douche électrique à Sierpe. Notez le disjoncteur avec cuivres à nu...
Traversée laborieuse du pays en bus de la côte Caraïbe à la cote pacifique pour rejoindre la péninsule Osa où se trouve le parc national Corcovado qui abrite une superbe forêt tropicale et des plages de rêve. Nous faisons une escale à San Isidro pour passer la nuit. Changement de climat en quelques dizaines de kilomètres à peine, on passe d'une région montagneuse et sèche à une région très humide sur la côte.
Nous passons 2 nuits dans un lodge à la playa Las Caletas. Le lieu est uniquement accessible par bateau. La vue sur l'océan est époustouflante. Ballade dans la forêt, de plages en plages.
Péninsule Osa
Péninsule Osa
La vue depuis notre chambre...
Je pestais que quelqu'un ait balancé ses sparadraps sur la plage... mais non, ce sont des feuilles!
Une douche électrique à Sierpe. Notez le disjoncteur avec cuivres à nu...
La côte Caraïbe, Cahuita et le colibri rojo
12 au 15 mars 2012
Retour par San José pour reprendre un bus en direction de la côte Caraïbe.
Le trajet de 4h se transforme en 8 h suite à une grève qui bloque la route. Quelle chaleur dans ce bus, sans parler du poivrot à coté de nous. Que du bonheur!
Nous sommes accueillis par Patrice et Fabienne au Colibri rouge, 2 Toulousains venus s'installer avec leurs 2 enfants dans cette belle région. Une surprise nous attend, en provenance directe de Dubaï; un petit resto offert par Amélie.
On nous avait dit qu'il pleuvait environ 1 h par jour durant toute l'année sur la côte Caraïbe... mais temps exceptionnel rien que pour nous, il pleut pendant 2 jours. On va pas se plaindre, au moins il fait un peu plus frais!
Ballade dans la réserve naturelle de Cahuita, forêt tropicale humide et playa. On observe des énormes araignées sur leurs toiles, des crabes mauves et oranges, un petit serpent jaune flache, les singes hurleurs qu'on entend de loin.
L'avantage du mauvais temps c'est qu'on peut profiter des plages désertes.
Au moment de partir, le soleil fait son grand retour. On décide de rester un jour supplémentaire pour profiter des plages sous le soleil.
Surprise en prenant le bus au retour de la plage, on retrouve Dimitri et Dona, ( 2 belges rencontrés en Equateur) venus du Panama. Que le monde est petit!
Sur la plage "punta uva"
Avec Fabienne et Patrice, nos sympathiques hôtes du "colibri rojo" ! Ambiance familiale assurée.
Retour par San José pour reprendre un bus en direction de la côte Caraïbe.
Le trajet de 4h se transforme en 8 h suite à une grève qui bloque la route. Quelle chaleur dans ce bus, sans parler du poivrot à coté de nous. Que du bonheur!
Nous sommes accueillis par Patrice et Fabienne au Colibri rouge, 2 Toulousains venus s'installer avec leurs 2 enfants dans cette belle région. Une surprise nous attend, en provenance directe de Dubaï; un petit resto offert par Amélie.
On nous avait dit qu'il pleuvait environ 1 h par jour durant toute l'année sur la côte Caraïbe... mais temps exceptionnel rien que pour nous, il pleut pendant 2 jours. On va pas se plaindre, au moins il fait un peu plus frais!
Ballade dans la réserve naturelle de Cahuita, forêt tropicale humide et playa. On observe des énormes araignées sur leurs toiles, des crabes mauves et oranges, un petit serpent jaune flache, les singes hurleurs qu'on entend de loin.
L'avantage du mauvais temps c'est qu'on peut profiter des plages désertes.
Au moment de partir, le soleil fait son grand retour. On décide de rester un jour supplémentaire pour profiter des plages sous le soleil.
Surprise en prenant le bus au retour de la plage, on retrouve Dimitri et Dona, ( 2 belges rencontrés en Equateur) venus du Panama. Que le monde est petit!
Sur la plage "punta uva"
Avec Fabienne et Patrice, nos sympathiques hôtes du "colibri rojo" ! Ambiance familiale assurée.
Libellés :
Costa Rica
Pays/territoire :
Cahuita, Costa Rica
Santa Elena, El Bosque nuboso
9 au 11 mars 2012
Après quelques jours de repos à San José, en attendant l'arrivée de Dominique, la maman de François, nous partons pour notre première étape Costa ricaine, la région de Monteverde. Située sur l'épine dorsale du Costa Rica, entre les 2 océans, à une altitude de 1800m au dessus du niveau de la mer, la région est toute l'année dans les nuages£. Ceux-ci sont soufflés depuis la cote Pacifique et sont stoppés par les sommets. Résultat, humidité de l'air proche de 100%. C'est aussi la région la plus fraiche du Costa Rica avec une température moyenne annuelle entre 16 et 18°C, et notre dernière étape avec des pulls.
Les forêts situées en régions tropicales montagneuses sont appelées les forêts de nuages, et constituent un écosystème rare sur la planète, habitat de centaines d'espèces d'oiseaux, mammifères, insectes et plantes, dont pas moins de 400 espèces d'orchidées, dont certaines ne sont visibles qu'à la loupe.
Au programme, visite nature de la réserve du Bosque Nuboso de Santa Elena, avec un guide rien que pour nous, l'avantage de suivre les visites en Espagnol. Contrairement à l'Amérique du Sud, au Costa Rica les visiteurs les plus nombreux sont les américains, suivis des canadiens et des allemands... qui suivent tous la visite en anglais.
Encore une tarentule, mais là on a eu de la chance : celle là est très rare, endémique du Costa Rica!
Une petite orchidée
Observation de la canopée depuis des ponts suspendus.
Sur un des ponts suspendus dans la canopée
Et un peu d'adrénaline avec des descentes en tyrolienne au dessus de la forêt, entre 60 et 100 m du sol.
"zip lines", ou tyroliennes... ça rigole pas !
Un bon petit resto avec la mère de François
Après quelques jours de repos à San José, en attendant l'arrivée de Dominique, la maman de François, nous partons pour notre première étape Costa ricaine, la région de Monteverde. Située sur l'épine dorsale du Costa Rica, entre les 2 océans, à une altitude de 1800m au dessus du niveau de la mer, la région est toute l'année dans les nuages£. Ceux-ci sont soufflés depuis la cote Pacifique et sont stoppés par les sommets. Résultat, humidité de l'air proche de 100%. C'est aussi la région la plus fraiche du Costa Rica avec une température moyenne annuelle entre 16 et 18°C, et notre dernière étape avec des pulls.
Les forêts situées en régions tropicales montagneuses sont appelées les forêts de nuages, et constituent un écosystème rare sur la planète, habitat de centaines d'espèces d'oiseaux, mammifères, insectes et plantes, dont pas moins de 400 espèces d'orchidées, dont certaines ne sont visibles qu'à la loupe.
Au programme, visite nature de la réserve du Bosque Nuboso de Santa Elena, avec un guide rien que pour nous, l'avantage de suivre les visites en Espagnol. Contrairement à l'Amérique du Sud, au Costa Rica les visiteurs les plus nombreux sont les américains, suivis des canadiens et des allemands... qui suivent tous la visite en anglais.
Encore une tarentule, mais là on a eu de la chance : celle là est très rare, endémique du Costa Rica!
Une petite orchidée
Observation de la canopée depuis des ponts suspendus.
Sur un des ponts suspendus dans la canopée
Et un peu d'adrénaline avec des descentes en tyrolienne au dessus de la forêt, entre 60 et 100 m du sol.
"zip lines", ou tyroliennes... ça rigole pas !
Un bon petit resto avec la mère de François
Libellés :
Costa Rica
Pays/territoire :
Monteverde, Costa Rica
mercredi 7 mars 2012
Quito-Bogota-San Jose
6 mars 2012
Résumé de cette longue journée :
On se lève à 3h (ouch) et taxi pour l'aéroport.
Au check in, au moins une demi heure de problèmes liés à notre billet électronique. La raison : Go Voyages, l'agence de voyage virtuelle avec laquelle nous avons acheté les billets. En gros et en résumé : les prix étaient meilleurs, mais communication et prestations exécrables (ils ont modifié les billets une semaine avant le vol sans les modifier dans le "système", d'où les tracas à l'aéroport).
A la porte d'embarquement, on appelle Nathalie pour une "vérification aléatoire de sécurité". Nous nous dirigeons tous les deux, escorté d'un garde de sécurité, vers le lieu de la fouille. En fait, il s'agit de mon sac qui est suspect... et oui, il s'avère que j'avais oublié que les combustibles pour le camping-gaz, c'est pas autorisé! On se fait donc confisquer notre bouteille de gaz. Je stresse pour la bouteille d'essence de Laureline et Max car j'avais aussi oublié de la vider. Ouf, il ne vérifie plus...
Mais, ô re-stress, tous les colis ayant été considérés suspects doivent passer par une fouille policière, après la fouille par l'agent de l'aéroport!
Là, pas de manière, il fouille... mais heureusement on tombe sur un paresseux qui n'a regardé que la moitié du sac et ouf, la bouteille n'est pas confisquée!
A ce moment, on découvre une grosse faille de sécurité : les passagers ne sont pas censés avoir d'objets dangereux dans l'avion, comme un couteau. Lors de la fouille, comme c'est moi qui ai du re-ranger le sac, j'aurais pu reprendre n'importe quoi avec moi! Voilà pour la petite histoire...
A Bogota, nous profitons de nos 8h d'attente pour visiter le centre-ville. Sympa ! Nous sommes ébahis par l'excquise couleur des yeux d'une partie de la population : un vert-bleu magnifique qui se détache des cheveux foncés.
Les femmes nous font également une forte impression : elles sont belles et leurs décolletés impressionnants. On voit même une femme seulement vêtue d'un string et d'une espèce de "treilli" aux mailles tellement larges qu'il ne dissimulait rien de sa féminité...
Le reste du voyage se passe sans encombre, et nous arrivons à San Jose en fin d'après-midi.
La place Bolivar à Bogota
Des passants louant des téléphones portables, enchaînés
Résumé de cette longue journée :
On se lève à 3h (ouch) et taxi pour l'aéroport.
Au check in, au moins une demi heure de problèmes liés à notre billet électronique. La raison : Go Voyages, l'agence de voyage virtuelle avec laquelle nous avons acheté les billets. En gros et en résumé : les prix étaient meilleurs, mais communication et prestations exécrables (ils ont modifié les billets une semaine avant le vol sans les modifier dans le "système", d'où les tracas à l'aéroport).
A la porte d'embarquement, on appelle Nathalie pour une "vérification aléatoire de sécurité". Nous nous dirigeons tous les deux, escorté d'un garde de sécurité, vers le lieu de la fouille. En fait, il s'agit de mon sac qui est suspect... et oui, il s'avère que j'avais oublié que les combustibles pour le camping-gaz, c'est pas autorisé! On se fait donc confisquer notre bouteille de gaz. Je stresse pour la bouteille d'essence de Laureline et Max car j'avais aussi oublié de la vider. Ouf, il ne vérifie plus...
Mais, ô re-stress, tous les colis ayant été considérés suspects doivent passer par une fouille policière, après la fouille par l'agent de l'aéroport!
Là, pas de manière, il fouille... mais heureusement on tombe sur un paresseux qui n'a regardé que la moitié du sac et ouf, la bouteille n'est pas confisquée!
A ce moment, on découvre une grosse faille de sécurité : les passagers ne sont pas censés avoir d'objets dangereux dans l'avion, comme un couteau. Lors de la fouille, comme c'est moi qui ai du re-ranger le sac, j'aurais pu reprendre n'importe quoi avec moi! Voilà pour la petite histoire...
A Bogota, nous profitons de nos 8h d'attente pour visiter le centre-ville. Sympa ! Nous sommes ébahis par l'excquise couleur des yeux d'une partie de la population : un vert-bleu magnifique qui se détache des cheveux foncés.
Les femmes nous font également une forte impression : elles sont belles et leurs décolletés impressionnants. On voit même une femme seulement vêtue d'un string et d'une espèce de "treilli" aux mailles tellement larges qu'il ne dissimulait rien de sa féminité...
Le reste du voyage se passe sans encombre, et nous arrivons à San Jose en fin d'après-midi.
La place Bolivar à Bogota
Des passants louant des téléphones portables, enchaînés
lundi 5 mars 2012
Quito, toute en longueur
4 et 5 mars 2012
Nous arrivons samedi soir chez Serge et Majo à Quito. Serge est l'ancien voisin de ma mère à LLN et nous accueille bien sympathiquement chez eux dans le Quito "moderne", au nord du vieux Quito.
Nous visitons le centre et sommes positivement impressionnés par cette belle capitale toute allongée (30km de long sur 5 de large), aux nombreux coins piétons et où certaines rues sont envahies de vélos le dimanche, l'accès y étant alors interdit aux voitures.
Visite de quelques églises, parmi lesquelles l'église "compania", dont pratiquement toutes les parois et décorations intérieures sont recouvertes d'une pellicule d'or, ce qui donne à l'ensemble un aspect absolument éclatant.
Nous parcourons les places animées d'acteurs de rue ou de "prédicateurs" criant leur indignation d'internet et d'autres infamies qui nous plongerons droit en enfer...
Alors que je me suis assoupis sur les marches d'une place tandis que Nathalie lisait des panneaux de l'autre côté, quelqu'un tente d'ouvrir mon sac à dos. Après quelque frayeur et un échange de mots peu catholiques, nous partons chacun de notre côté tandis que je regrette déjà de ne pas avoir agi différemment.
Nous terminons notre visite de Quito par un petit resto avec Serge et Majo, avant de prendre l'avion pour le Costa Rica dans la nuit du 5 au 6.
Certaines rues sont réservées aux cyclistes tous les dimanches, sympa!
Vue sur la place de l'indépendance, depuis le palais présidentiel
Au resto "la boca del lobo" avec Serge et Majo
Nous arrivons samedi soir chez Serge et Majo à Quito. Serge est l'ancien voisin de ma mère à LLN et nous accueille bien sympathiquement chez eux dans le Quito "moderne", au nord du vieux Quito.
Nous visitons le centre et sommes positivement impressionnés par cette belle capitale toute allongée (30km de long sur 5 de large), aux nombreux coins piétons et où certaines rues sont envahies de vélos le dimanche, l'accès y étant alors interdit aux voitures.
Visite de quelques églises, parmi lesquelles l'église "compania", dont pratiquement toutes les parois et décorations intérieures sont recouvertes d'une pellicule d'or, ce qui donne à l'ensemble un aspect absolument éclatant.
Nous parcourons les places animées d'acteurs de rue ou de "prédicateurs" criant leur indignation d'internet et d'autres infamies qui nous plongerons droit en enfer...
Alors que je me suis assoupis sur les marches d'une place tandis que Nathalie lisait des panneaux de l'autre côté, quelqu'un tente d'ouvrir mon sac à dos. Après quelque frayeur et un échange de mots peu catholiques, nous partons chacun de notre côté tandis que je regrette déjà de ne pas avoir agi différemment.
Nous terminons notre visite de Quito par un petit resto avec Serge et Majo, avant de prendre l'avion pour le Costa Rica dans la nuit du 5 au 6.
Certaines rues sont réservées aux cyclistes tous les dimanches, sympa!
Vue sur la place de l'indépendance, depuis le palais présidentiel
Au resto "la boca del lobo" avec Serge et Majo
Otavalo et son marché
2 et 3 mars 2012
Une petite journée de bus après Quilotoa en repassant par Latacunga pour récupérer le gros de nos sacs, nous voici arrivés à Otavalo.
Rien d'exeptionnel à cette ville, si ce n'est son extraordinaire marché artisanal, surtout celui du samedi.
Nous y passons donc toute la matinée du samedi 3, en faisant le plein de souvenirs et de quelques cadeaux!
Nath affamée avant de reprendre le bus vers Quito...
Une petite journée de bus après Quilotoa en repassant par Latacunga pour récupérer le gros de nos sacs, nous voici arrivés à Otavalo.
Rien d'exeptionnel à cette ville, si ce n'est son extraordinaire marché artisanal, surtout celui du samedi.
Nous y passons donc toute la matinée du samedi 3, en faisant le plein de souvenirs et de quelques cadeaux!
Nath affamée avant de reprendre le bus vers Quito...
Latacunga et trek à Quilotoa
27 février au 1er mars
Après la côte à Puerto Lopez, l'Amazonie du côté de Puyo, nous voici dans les montagnes, en plein centre équatorien.
Latacunga est notre point de départ pour le "Quilotoa loop", un trek de trois jours fort connu en équateur pour la beauté de ses paysages.
Après un extraordinaire brownie au chocolat, une pizza géante, et une nuit de repos dans un bon lit, nous voici plein d'énergie pour entamer ce petit périple!
1er jour : bus vers Isinlivi et encore un peu de repos toute l'après-midi (il pleut). Nous y rencontrons Thomas et Marion, 2 strasbourgeois sympas avec qui nous marcherons les jours suivants.
2ième jour : marche vers Chugchilan, avec une halte pique-nique à midi au bord d'un canyon...
3ième jour : marche vers Quilotoa, perchée au sommet du volcan du même nom, et prosternation devant la beauté de la lagune nichée dans le cratère, aux reflets verdâtres quand le soleil veut bien se montrer. Magique!
En marche vers Chugchilan!
Notre emplacement de pique-nique... y'a pire comme vue
Les récentes inondations n'ont pas de frontière... et leurs dégâts non plus!
On y est !
Avec Thomas et Marion, chouettes français rencontrés en chemin!
Après la côte à Puerto Lopez, l'Amazonie du côté de Puyo, nous voici dans les montagnes, en plein centre équatorien.
Latacunga est notre point de départ pour le "Quilotoa loop", un trek de trois jours fort connu en équateur pour la beauté de ses paysages.
Après un extraordinaire brownie au chocolat, une pizza géante, et une nuit de repos dans un bon lit, nous voici plein d'énergie pour entamer ce petit périple!
1er jour : bus vers Isinlivi et encore un peu de repos toute l'après-midi (il pleut). Nous y rencontrons Thomas et Marion, 2 strasbourgeois sympas avec qui nous marcherons les jours suivants.
2ième jour : marche vers Chugchilan, avec une halte pique-nique à midi au bord d'un canyon...
3ième jour : marche vers Quilotoa, perchée au sommet du volcan du même nom, et prosternation devant la beauté de la lagune nichée dans le cratère, aux reflets verdâtres quand le soleil veut bien se montrer. Magique!
En marche vers Chugchilan!
Notre emplacement de pique-nique... y'a pire comme vue
Les récentes inondations n'ont pas de frontière... et leurs dégâts non plus!
On y est !
Avec Thomas et Marion, chouettes français rencontrés en chemin!
dimanche 26 février 2012
Puyo, aux portes de la jungle
24 au 26 février 2012
De passage forcé à Guayaquil, nous prenons ensuite un bus vers Puyo, aux "portes" de la jungle. Un trajet de 8h agrémenté de notre première agression dans un bus : à mi-trajet, on s'est platement fait gerber dessus par un argentin... inutile de vous dire que la suite du trajet fut moins drôle!
Puyo n'est pas un endroit exceptionnel, mais c'est un bon point de départ pour une série de treks dans la jungle. On visite le "paseo de los monos", un centre où l'on recueille des singes issus de particuliers qui les détenaient captifs comme animaux de compagnie, pratique devenue illégale il y a quelques années.
Les singes sont adorables, nous grimpent dessus et jouent avec nous, à la plus grande frayeur de Nathalie qui se découvre singophobe...
Nous y rencontrons Dimitri, Dona et Pauline, 3 belges sympa avec qui nous décidons de passer ensemble nos deux prochains jours dans la jungle. Nous partons avec l'agence "Papangu", dont le représentant est un membre de la communauté de Sarayaku, menacée par un gros projet d'expoitation pétrolière.
Nous passons deux jours exceptionnels de marche dans la jungle, pirogue, baignade dans une cascade, observation de boas constrictors, tapir, colonies de fourmis, poissons géants... Que de beaux souvenirs!
Un refuge pour singes où on se fait quelques copains!
Nath n'aime pas son nouveaux copain...
Encore un nouveau copain
Santé ! Avec Dona, Dimitri, notre guide Gerardo, et Pauline
Depuis un mirador, devant les portes de la jungle!
De passage forcé à Guayaquil, nous prenons ensuite un bus vers Puyo, aux "portes" de la jungle. Un trajet de 8h agrémenté de notre première agression dans un bus : à mi-trajet, on s'est platement fait gerber dessus par un argentin... inutile de vous dire que la suite du trajet fut moins drôle!
Puyo n'est pas un endroit exceptionnel, mais c'est un bon point de départ pour une série de treks dans la jungle. On visite le "paseo de los monos", un centre où l'on recueille des singes issus de particuliers qui les détenaient captifs comme animaux de compagnie, pratique devenue illégale il y a quelques années.
Les singes sont adorables, nous grimpent dessus et jouent avec nous, à la plus grande frayeur de Nathalie qui se découvre singophobe...
Nous y rencontrons Dimitri, Dona et Pauline, 3 belges sympa avec qui nous décidons de passer ensemble nos deux prochains jours dans la jungle. Nous partons avec l'agence "Papangu", dont le représentant est un membre de la communauté de Sarayaku, menacée par un gros projet d'expoitation pétrolière.
Nous passons deux jours exceptionnels de marche dans la jungle, pirogue, baignade dans une cascade, observation de boas constrictors, tapir, colonies de fourmis, poissons géants... Que de beaux souvenirs!
Un refuge pour singes où on se fait quelques copains!
Nath n'aime pas son nouveaux copain...
Encore un nouveau copain
Santé ! Avec Dona, Dimitri, notre guide Gerardo, et Pauline
Depuis un mirador, devant les portes de la jungle!
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